Claude Baillargeon, l’ami graphiste, poète et photographe, nous a quitté voici 3 ans,
Au jeu du « Je me souviens », les soirées à refaire le monde, dans son atelier du Faubourg Saint-Antoine, puis à Hermet, en Mayenne, au milieu des bois, l’exposition que nous avions présentée en 1996 dans notre galerie du bar Floréal, celle à l’Espace Niemeyer, en 2015, nos traversées de Paris, joueuses et bavardes, poétiques et politiques, l’absence de commandes malgré ses nombreux prix, puis la maladie dévorant son corps, le rendant léger, si léger, mais son esprit, si vif, radical, creusant toujours à la racine des choses, toujours aigu, jusqu’à la fin.
En 2003, Le bruit des bottes,
La guerre en Irak, avec le beau succès et le joli résultat que l’on sait.
1990, la France en est.
2003, on recommence ?
Jeu avec une paire de bottes
En cadeau, le rire de Claude, jouant avec Boudu, l’un de ses chats, à la table de sa maison d’Hermet, filmé par l’ami Jean Clais avec son téléphone.
Alberto Yaccelini
Fév 9, 2019 at 13 h 59 min
Très bien.
Valat
Fév 9, 2019 at 14 h 29 min
Je me souviens également, autres souvenirs, mêmes lieux…
philippe
Fév 9, 2019 at 14 h 53 min
on en veut encore
Isabelle
Fév 9, 2019 at 15 h 01 min
Quel plaisir André de retrouver l’ami Claude, de lire ces mots et de regarder ces images, certaines nouvelles pour moi, d’autres déjà inscrites dans ma mémoire ! J’attendrai avec impatience la prochaine histoire…
Finkelsztajn Yolande
Fév 9, 2019 at 15 h 02 min
Vraiment bien+++++
Justyn
Fév 9, 2019 at 16 h 10 min
C’est une heureuse idée, André. J’attends avec intérêt ton prochain article.
collas gilles
Fév 9, 2019 at 17 h 24 min
Superbe, André, touchant, juste, à ton image.
Valérie Pinard
Fév 9, 2019 at 17 h 41 min
Magnifique André. Très beau projet que ce nouveau blog. je t’embrasse.
pavlowsky
Fév 9, 2019 at 18 h 38 min
TROP BIEN!!!!
Patrick Giraudo
Fév 9, 2019 at 19 h 21 min
Commencer le récit de ses souvenirs par celui de Claude, un bel hommage. Moins drôle, le bruit des bottes. On l’entend tous. Une tranche de saucisson dans les yeux, on sourit mais il ne faut pas.
Marc Mentré
Fév 10, 2019 at 6 h 33 min
Voilà un blog(ue) qui commence fort bien. Et savoir que Claude Baillargeon avait peu de commandes en dépit de son immense talent est un crève-cœur.
Jean-Louis Sagot-Duvauroux
Fév 10, 2019 at 8 h 26 min
Merci André pour ces souvenirs d’un homme si attachant, si humble, si talentueux. Il avait fait depuis sa poétique demeure d’Hermet une magnifique image pour le spectacle Ala tè sunogo (Dieu ne dort pas) de la Cie BlonBa. C’était peu avant qu’il s’en aille. Je te l’envoie avec mes amitiés.
Abdoulaye BARRY
Fév 10, 2019 at 21 h 02 min
Tés touchant la série avec des bottes.
Bruno TROMBINI
Fév 11, 2019 at 8 h 31 min
Etonnants !
Aurélie Brun
Fév 11, 2019 at 9 h 44 min
Bravo !
brigitte
Fév 11, 2019 at 10 h 41 min
merci André
BLUMENTAL
Fév 14, 2019 at 16 h 16 min
De bien belles photo, André. Merci pour ce partage.
quignon
Mar 16, 2019 at 15 h 20 min
superbe, toujours pertinent , il manque à tous
Francois Fabrizi
Mai 22, 2019 at 23 h 42 min
Quel personnage c’était ! Bravo André et merci.
Marie Maurel
Mai 24, 2022 at 7 h 45 min
Merci André Lejarre ! Encore plus vrai, encore si proche, tellement touchant, ce portrait parle tellement de lui !… Je ne connaissais pas l’affiche « la guerre coûte chair ! « . Et merci Jean Clais pour son rire et ce petit film malicieux.